DIYA : des robots qui vous veulent du bien !
Aujourd’hui, la recherche du bien-être, notamment au travail, n’est plus une option ! La PME française « Partnering Robotics» l’a bien compris, et propose de véritables « R2D2 » du climat: des robots contre la pollution de l’air.
Le DIYA AIR NODE et le DIYA ONE X ont des champs d’actions diversifiés – bureaux, centres commerciaux, musées, EHPAD – et peuvent traiter respectivement jusqu’à 40m2 et 1000 m2 de surface intérieure.
Ces robots sont munis de capteurs qui mesurent en continu les caractéristiques de l’air ambiant : température, hygrométrie, luminosité, niveau sonore, CO2, particules fines, composés organiques volatiles, ozone. Ils sont équipés de filtres à haute efficacité ( H13 ) fournis par CAMFIL, d’un ventilateur et d’un automate, assurant la purification de l’air.
La solution Partnering Robotics inclut également une interface WEB qui permet de suivre à distance ces paramètres de bien-être environnemental. Deux écrans de synthèse sont disponibles, l’un pour informer les occupants, l’autre destiné à l’exploitant du bâtiment.
Avec son client Galeries Lafayette à Paris, Partnering Robotics a déployé une passerelle entre le robot et l’automate d’une centrale de traitement d’air, qui utilise les mesures de température, hygrométrie et CO2 pour effectuer la régulation de la centrale.
Business modèle
Partnering Robotics est proposé en mode locatif uniquement, au prix de 1300 € par mois. Ce montant inclut la mise à disposition et la maintenance du robot ainsi que les interfaces WEB. Le développement de la passerelle de régulation doit être prévue séparément (environ 45 000 € ).
Notre avis
Le robot Partnering Robotics apporte une valeur sur la captation des particules solides grâce au filtre à très haute efficacité. Le tableau de contrôle, disposé dans les locaux, permet de rassurer les occupants sur l’air qu’ils respirent. En revanche, il mesure la teneur en CO2 mais n’apporte pas de solution pour la réduire.
Dans la version avec passerelle le modèle économique est complexe car il faut amortir le coût de location du robot et, en plus, l’investissement dans le développement de la passerelle…
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